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  • © Philippe-Enrico Attal

    Toutes les voies du technicentre sont desservies par un chariot transbordeur (14 février 2022).

  • © Philippe-Enrico Attal

    Dans l’atelier TER, les voitures de la région Paca sont rénovées par les agents du technicentre (14 février 2022).

  • © Philippe-Enrico Attal

    Les voitures Corail sont mises à nu. Tous les éléments intérieurs, baies vitrées, portes, couchettes... sont numérotés et stockés pour être reconditionnés (14 février 2022).

La seconde vie du technicentre Picardie a commencé

1 mai 2022
- -
Par : Philippe-Enrico Attal

Le technicentre SNCF de Tergnier est en pleine mutation. Les ateliers sont restructurés, les activités recentrées sur les voitures Corail avant la construction prochaine d’un nouveau bâtiment consacré à la maintenance des essieux.

C’est une belle histoire comme on les aime. Une aventure qui commence mal bien sûr et qui connaît une fin heureuse. D’abord il y a une pandémie mondiale qui met une bonne part de l’activité du pays à l’arrêt, avec un soutien financier massif de l’État pour éviter qu’une crise économique ne vienne s’ajouter à la catastrophe sanitaire. Et c’est dans le cadre du plan de relance que le retour des trains de nuit est décidé par le gouvernement. Des trains dont une grande part a été supprimée à l’occasion du développement des lignes de TGV, notamment sur la Méditerranée. Sacrifiés au nom d’une certaine rentabilité, ces trains avaient de toute façon perdu une bonne part de leur clientèle qui préfère voyager rapidement. Une bonne part, oui, mais pas la totalité et certains voyageurs regrettaient de ne plus pouvoir se réveiller le matin en arrivant à destination. C’était particulièrement vrai sur les longues distances à l’image du Paris – Nice. Le plan de relance est donc venu apporter une réponse favorable à la demande d’une clientèle qui ne se résignait pas à cette disparition. D’autant que les investissements dans le ferroviaire répondent aux exigences environnementales voulues par les pouvoirs publics.

Reste qu’il fallait disposer, pour assurer ces liaisons de nuit, du matériel nécessaire. Et là, c’était un peu plus compliqué. Les voitures Corail de type Lunéa et autres ont peu à peu disparu du réseau, notamment en raison de leur âge avancé. Depuis quelques années déjà, les différents opérateurs, qu’il s’agisse des régions pour les TER ou de la SNCF sur les Intercités, ont fait le choix des rames automotrices plutôt que des voitures tractées. Les Corail arrivées à partir de 1975 sont donc condamnées à disparaître. Même chose, à plus forte raison, pour celles affectées aux trains de nuit. Du moins jusqu’à la relance de l’activité. Après le Paris – Nice inauguré en grande pompe, c’est au tour du Paris – Tarbes – Lourdes de reprendre du service. Et ce n’est pas terminé.

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Un Commentaire

  1. Güntürk Üstün 1 mai 2022 13 h 01 min

    40 millions d’euros est la somme que la SNCF a décidé d’investir dans son technicentre de Picardie, installé à Tergnier.
    Le site accueillera un centre essieux 4.0 ultra-moderne, véritable usine du futur. Un bond technologique d’ampleur pour l’atelier de maintenance, en activité depuis 1858. Et qui en 15 ans, a malheureusement vu ses effectifs passer de plus de 1000 agents à 300 environ, parallèlement à une baisse du fret.
    Dans des locaux neufs, s’étendant sur 14 500 m², la robotisation et la digitalisation assureront le traitement optimisé de tous les types d’essieux ferroviaires avec une cadence qui pourra atteindre 1 essieu toutes les 12 minutes, 2 fois plus vite qu’actuellement.
    Après 3 années d’études, les premiers travaux intensifs ont été lancés novembre dernier. La SNCF espère inaugurer cet outil stratégique complètement vers la fin de l’an 2023.

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